Centaures de la nuit
Galopent sur les chemins
Croisent les licornes endormies
Et saluent les lutins
Lorsque les derniers voyageurs égarés
Le bon chemin ont retrouvé
Alors la forêt s'éveille
Sans attendre le soleil
Et les arbres qui se rejoignent semble former
Une arche de danse pour les fées
Et les étoiles dans le ciel
Sur tous les sentiers
Dansent une ronde éternelle
Qui n'a jamais existé.