Que n'es-tu là à me soutenir tout au long de la vie Pourquoi a-t-il fallu que tu partes alors que je venais d'éclore. Le manque cruel d'amour maternel est à jamais gravé, ici, En ce coeur qui pleure chaque jour et restera une plaie béante. Je t'imaginais tendre, douce, me prodiguant des mots de réconfort. Je me voyais parfois entre tes bras rassurants, te rêvant aimante. De cela j'en ai eu besoin, la vie est si rude, tu le sais évidemment. Chaque nuit, dans mes rêves d' enfant, te cherchant désespérément Dans une sorte de brume au delà des nuages, je te criais mon amour. Que n'es-tu là aujourd'hui encore à m'encourager de ton amour. Cependant, à cette heure, maman à mon tour, ayant acquis avec le temps Une certaine maturité, sachant aussi la force de cet amour maternel, Je sais la peine que tu as pu avoir de me laisser mener la barque du temps. Je te dédies, moi ta fille, avec cet amour d'enfant, ce poème éternel. Maman, si tu m'entends, Je t'aime.